Prises de paroles, chants de luttes centenaires et internationales, colleur·euses et graffeur·euses s’affairant à faire passer les messages antipatriarcacapitaliste tout le long du parcours, batucada bien vénère pour réveiller la capitale, pancartes méga-créatives de guérillères dont des « merci Judith » : voilà un cortège bouillonnant et insurrectionnel qui revigore et propre à faire relever la tête toutes les sisters.
Une chose est sûre : la relève est assurée et l’agitation n’est pas prête de retomber.