On peut passer du coq à l’âne et des séquenceurs d’ADN aux fresques. Mr Post-it (et d’autres) descend régulièrement avancer sur son oeuvre spatiale – au rythme du pinceau – et a mis un bon son planant pour se plonger dans l’ambiance. Et nous avec.
Du coup, d’un coup, nous ne sommes plus dans un long couloir où le silence serait uniquement troublé par les brancards et la circulation des pneumatiques. Mais au milieu de dizaines d’univers artistiques aux couloirs chatoyantes. Et ça, c’est un beau voyage visuel, de l’ordre de l’inoubliable.
Puissent le plus de yeux possibles oser pousser cette porte.